
Diplômée en anthropologie et en traduction, j’ai associé deux disciplines qui m’ont toujours été particulièrement chères pour leur capacité à explorer et appréhender l’altérité.
Ma connaissance approfondie de divers champs des sciences humaines et sociales, associée à ma maîtrise des techniques propres à la traduction professionnelle, me permettent aujourd’hui de proposer des services spécialisés, à destination des universités, centres de recherche et instituts publiant dans le domaine SHS.
Ouvrages et articles spécialisés en :
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Anthropologie/Ethnologie
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Sociologie
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Sciences politiques et relations internationales
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Philosophie
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Histoire
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Histoire de l’art
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Linguistique
Domaines de spécialisation :
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Droits humains
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Droits des minorités
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Études postcoloniales
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Problématiques socio-environnementales
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Questions autochtones
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Rapports sociétés humaines/environnement
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Problématiques territoriales et modes de gouvernance
Langues de travail :
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Anglais > Français
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Espagnol > Français
D’après l’American Council of Learned Societies (ACLS), les textes en sciences sociales « exigent du traducteur une parfaite connaissance de la discipline abordée »1.
Les termes et concepts des sciences sociales sont développés dans des contextes culturels, sociaux et politiques spécifiques. D’où la difficulté pour un·e traducteur·rice non spécialiste de transmettre toute leur portée conceptuelle d’un contexte à l’autre.
Parce que ces termes dépendent étroitement d’une culture, mais s’inscrivent également dans une communauté de recherche déterminée, le/la traducteur·rice doit être « averti[·e] non seulement du sujet dont traite le texte mais aussi des champs sémantiques plus larges où il s’inscrit »2.
En tant que traducteur·rices des sciences sociales, nous devons connaître et comprendre de manière approfondie la terminologie de la discipline, mais aussi l’environnement académique, social et historique dans lequel le texte est né.
1 ACLS - Social Science Translation Project : « Recommandations pour la traduction des textes de sciences humaines » (consultez l’article ici)
2 Ibid.
« Le traducteur idéal [...] est quelqu’un dont la langue maternelle ou dominante est la langue cible, qui a acquis une connaissance approfondie de la langue source, reçu une formation aux techniques de traduction et—en particulier s’il s’agit d’un texte savant—qui connaît bien le sujet traité par le texte. Trouver un tel traducteur peut constituer un véritable défi. »
American Council of Learned Societies, Social Science Translation Project